Meneham, toute une histoire!

6 courtes saynètes, jouées au cours de l’après-midi en différents lieux de Meneham, racontent l’histoire de ce village.

Depuis le milieu du XVIIIème siècle, date de la construction du corps de garde, jusqu’au milieu du XXème siècle, ces saynètes se déroulent devant différents bâtiments témoins de l’histoire des lieux et font intervenir le public.

14h30
1. Devant le corps de garde, vers 1760, en hiver.
Un navire est en difficulté sur la mer en furie. Les Paganiz – habitants de la côte – préparent le naufrage, tandis que les miliciens garde-côtes s’arment pour s’opposer au pillage du navire.

15h10
2. Devant la caserne, vers 1840.
C’est le jour des Gras, tandis que les habitants du village préparent la cuisson du pain, du pastez et des pommes de terre au four pour la fête, les douaniers qui résident dans la caserne attentent la livraison de leur cheval.

15h50
3. Le travail des goémoniers (entre les 2 guerres), près des 2 bateaux.
Un couple de villageois apprend à leur beau-fils, venant de la ville, le travail du goémonier occupé toute l’année à la grève (goémon d’épave, goémon de coupe, laminaires, pioca…).

16h30
4. Katula, près de la caserne.
C’est la légende d’un douanier surnomné « Katula » car excessivement soupçonneux. Il passe son temps à fouiller les passants « Qu’as-tu là ? ». Jusqu’au jour où il rencontre le diable en personne.

17h10
5. Les danses, entre les 2 guerres, dans le jardin de la maison Salou.
Les villageois dansent la Round-Pagan, danse du pays. Quelqu’un introduit les nouvelles danses : valse, tango à l’aide d’un phonographe. Le clergé lutte contre les danses « immodestes ».

17h50
6. La veillée, en 1950, devant le maison Salou.
Un soir d’hiver, alors que la famille et le voisinage se sont réunis au coin du feu pour veiller, on reçoit la visite d’Alain Jaouen, fis du docteur Jaouen, venu proposer la culture d’un nouveau légume : l’endive !